12 mars 2009
Now you know it's so much better to pretend [...]
Y'a des soirs comme ça ou on aimerait bien avoir quelqu'un avec qui discuter, pour libérer sa rage, partager sa joie ô combien rare, ou tout simplement se confier. Mais voilà quand on se renferme sur soi-même, à force, plus personne ne s'approche de vous. Le fait d'être une paire n'arrangera pas la chose non plus.
Santé de merde, vie de merde.
En attendant, me voilà de retour, et cette fois je ne mens pas.
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